Oreiller ferme ou moelleux : comment bien choisir pour un sommeil vraiment réparateur ?
A la recherche du bon oreiller pour bien dormir, ne plus avoir mal au cou, au dos et avoir un sommeil réparateur ? On a tendance à négliger son oreiller… jusqu’à ce qu’on se réveille avec un torticolis, ou qu’on passe la nuit à se retourner sans trouver la bonne position. Pourtant, bien choisir son oreiller, c’est (re)trouver un sommeil réparateur, soulager ses cervicales et dire adieu aux tensions du matin. Ferme ou moelleux ? Rectangulaire ou carré ? En duvet, mousse ou latex ? On fait le point pour vous aider à trouver le bon pour votre lit dans la chambre.
Avant tout, l’importance de votre position pour dormir
Dormez-vous sur le dos, sur le ventre ou sur le côté ? C’est la première question à se poser, et la plus importante. Votre position de sommeil détermine le type de soutien dont vous avez besoin :
- Sur le côté : choisissez le vôtre parmi des oreillers fermes pour un bon maintien, et assez hauts, pour garder l’alignement tête-nuque-épaules.
- Sur le dos : optez pour des modèles mi-fermes, ni trop hauts ni trop plats.
- Sur le ventre : préférez des oreillers moelleux et très fins (voire pas d’oreiller du tout), pour éviter de cambrer votre dos.
On oublie souvent à quel point cette harmonie entre votre position et l’épaisseur de l’oreiller peut faire la différence au réveil.
Le bon garnissage pour un bon soutien
Plumes, mousse, latex, laine, microbilles… chaque matière a ses avantages. Si vous recherchez un soutien précis et ergonomique, les mousses à mémoire de forme sont idéales. Vous aimez les oreillers douillets qui s’écrasent sous la tête ? Tournez-vous vers le duvet ou les fibres synthétiques moelleuses.
Personnellement, je trouve que les oreillers en plumes sont parfaits si vous avez tendance à avoir des douleurs aux cervicales.
À ne pas négliger : la forme, la taie… et la durée de vie
Pour dormir, privilégiez les oreillers rectangulaires : ils soutiennent mieux la tête. Les carrés sont plus adaptés à la lecture ou au repos assis. Côté hygiène, pensez aussi à la taie d’oreiller : en coton ou percale, elle joue sur la respirabilité et la sensation au toucher.
Et n’oubliez pas : un oreiller se change tous les 3 à 5 ans. Passé ce délai, il perd de sa fermeté, et vous le sentez… dans votre cou.
