Monoprix x Prisunic 2025 : la collection de retour le 2 décembre

Il y a des noms qui traversent les décennies sans jamais perdre leur pouvoir d’évocation. En 2025, Monoprix ressuscite une nouvelle fois l’âme de Prisunic et invite les amateurs de design à un véritable voyage dans le temps. Pour cette 3e édition très attendue, la collection Studio Prisunic replonge avec délice dans l’effervescence créative des années 70… sans jamais tourner le dos à la modernité. Une collection disponible ce 2 décembre à 18 h sur le site de Monoprix.

Quand Prisunic révolutionnait le design « pour tous »

À la fin des années 1960, Prisunic ne se contente plus de vendre des produits du quotidien : l’enseigne démocratise le mobilier contemporain. Une petite révolution à l’époque. Le pari est clair : proposer des pièces dessinées par de vrais designers à des prix accessibles. Plus besoin de fréquenter des galeries confidentielles pour s’offrir une lampe sculpturale ou une table avant-gardiste.

Pour présenter ces collections audacieuses, Prisunic crée même des catalogues devenus mythiques, véritables objets graphiques et manifestes esthétiques. Le slogan de l’époque résume tout : « Le beau au prix du laid ». Un manifeste toujours d’actualité, plus de cinquante ans plus tard.

Studio Prisunic 2025 : entre rééditions cultes et créations inédites

Pour cette nouvelle collection, Monoprix a fouillé dans les archives du studio de création de Prisunic, en s’inspirant directement de ses catalogues historiques. Résultat : un ensemble de pièces iconiques remises au goût du jour, mais aussi des créations originales imaginées dans le plus pur esprit seventies.

Assises en métal tubulaire chromé ou rehaussées de teintes pop, tables basses aux finitions laquées immaculées ou en métal foncé, luminaires aux formes généreuses… chaque objet semble raconter une histoire, celle d’une époque où le design osait la couleur, la rondeur et l’expérimentation.

Mais la collection va plus loin que la simple nostalgie. Les créateurs historiques de la marque ont eux-mêmes été invités à réinterpréter leurs œuvres avec un regard contemporain :

• Jean-Pierre Garrault et Maryvonne Garrault revisitent des objets emblématiques en y injectant une énergie résolument pop ;
• Odile Mir retravaille sa célèbre lampe Totem avec sa petite-fille pour lui offrir de nouveaux formats et coloris pile dans l’air du temps ;
• le duo Garrault-Delord propose une version inédite de leur lampe « boule » et des tables gigognes mêlant verre et métal tubulaire.

Un dialogue fascinant entre générations, où l’héritage n’est jamais figé mais constamment réinventé.

Pourquoi cette collection risque de vite partir !

Le succès annoncé de Studio Prisunic 2025 ne doit rien au hasard. Dans un paysage déco saturé de minimalisme sage, cette collection injecte une dose bienvenue d’audace et de joie visuelle. Le style rétrofuturiste des années 70, longtemps boudé, signe son grand retour chez les intérieurs en quête de personnalité.

Fauteuils tubulaires, tables gigognes en verre, luminaires sculpturaux, tapis graphiques, petits objets déco… chacun peut piocher selon ses envies, que l’on souhaite transformer son salon ou simplement ajouter une touche vintage à une étagère.

Et comme pour les précédentes éditions, la rareté attise le désir : la collection sera disponible dès le 3 décembre 2025 sur le site de Monoprix et dans une sélection de magasins. Un pop-up store éphémère ouvrira également ses portes du 3 au 7 décembre, dans le Marais, pour découvrir l’intégralité des pièces dans une scénographie inspirée des seventies.

* Collection disponible en ligne et dans les magasins suivants : Passy Plaza, Nation, Montparnasse, Beaugrenelle, Croises Laroche, Boulogne, Place Blanche, Sablons, St Cloud, Toulouse, OPera, Commerce, Dragon, Rond Point, Ternes, Champs Elysées, Vaugirard, Parly 2, So Ouest, Chaussée d’Antin, Lyon GBL. Egalement au pop-up store Monoprix x Prisunic au 5 rue Saint-Merri, du 3 au 7 décembre 2025.

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